Les axes explorés : liberté donnée aux parents, et optimisation des dépenses des Etats.
Selon une étude menée par l’IFRAP, les « charter schools », ou écoles indépendantes, demeurent l’alternative la plus importante à l’école publique :
“En finançant publiquement les initiatives privées, qui sont tenues pour responsables des résultats, contrairement aux écoles publiques, les Etats fédérés permettent de catalyser un florilège de pédagogies. Bien souvent, ces écoles ont des résultats largement supérieurs aux écoles publiques alors même qu’elles ne touchent que 74% des financements totaux d’une école publique. Equipes unies, pédagogie spécifique, transparence des résultats, responsabilité des moyens, tels sont les ingrédients pour des écoles considérées comme efficaces pour l’éducation des élèves. Depuis l’Elementary and Secondary Education Act voté en décembre 2015, les écoles publiques seront sommées de publier leurs comptes. Ainsi les nombreuses exigences du privé vont-elles devenir peu à peu celles du public. L’exemple américain montre qu’une réforme du système éducatif français est possible mais ce, à condition de laisser plus de pouvoirs aux territoires (régions et communes) en matière de gestion de la politique éducative.”
Retrouvez ici l’analyse fournie par l’IFRAP dans son intégralité.