Dans les pays occidentaux, ils sont entre 1 et 5 % des élèves scolarisés et leur maladie est encore tabou en France. Cette nouvelle pathologie, appelée phobie scolaire, montre que le moule unique de l’éducation nationale, dans sa réalité concrète, ne convient pas à tous les enfants et même, qu’il en rend malade un nombre significatif et, apparemment, croissant. Dès lors, pour les parents, le parcours du combattant commence car il faut trouver, dans l’urgence, un nouveau mode d’instruction pour leur enfant : hors contrat, école à la maison avec ou sans cours par correspondance, année à l’étranger etc. Une maman décrit cette maladie trop peu connue dans un livre témoignage. C’est l’un des premiers sur la phobie scolaire.
Liberté scolaire reproduit ci-dessous un interview, lié au témoignage de la maman de Justine.